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Audio
1
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Amicalement blues
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Thiéfaine Hubert-Félix
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2007 |
Blues |
14-05-2009 |
112 |
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Audio
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And the great unknown
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Gunnar Jansson Bror
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2017 |
Blues |
29-03-2018 |
27 |
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April-may lockdown
Avec ses longs cheveux gris et son chapeau, sa veste en jean’s et son petit foulard noué autour du cou, Christian Maucery ne passe pas inaperçu dans les rues d’Angers. Son allure amérindienne est trompeuse. Christian Maucery est né en Tunisie, deux fois. D’abord en 1959, avant que sa famille ne gagne les Charentes. Puis en 1978, à l’occasion d’un festival, après avoir remporté le premier prix d’un concours de chant à Angoulême, un billet pour son pays d’enfance. « J’ai eu un double déclic : j’ai su que ma vie serait rythmée par les voyages et la musique » , dit-il de sa voix douce.
Une vision prémonitoire : après avoir été postier à Paris, il prend le large vers l’Australie, 11 ans, le Canada et les USA, 5 ans. « Je vivais de petits boulots et j’apprenais la musique. En Australie, j’ai découvert la guitare Dobro et la pedal steel guitare (qui se joue à plat). J’ai sorti mes trois premiers albums que je vendais dans la rue et les halls de gare, où je jouais. Aux États-Unis, je suis parti aux racines du blues » .
De retour en France voici dix ans, il s’installe à Angers, où il lui arrive de se produire. Et où il propose, avec la constance d’un métronome, des CD autoédités. « J’économise pendant plus de deux ans. Je dépense peu, à part pour acheter des cordes de guitares ou de nouveaux instruments. Et dès que j’ai un répertoire suffisant, je passe à l’enregistrement » .
Cela a été le cas de son dernier opus, Happy ending , enregistré cet été à son domicile par l’ingénieur du son angevin Olivier Fournier. Une petite merveille, qui regorge de pépites blues. Ses dix titres traitent de la solitude, de la trahison d’amis, des Bulldog people qui émettent des ondes négatives, de rêves d’ados qui connaissent une fin tragiqueà
Avec toujours ce jeu de guitare d’une grande sensibilité et cette voix soyeuse qui semble planer comme un nuage au-dessus des compositions. « Je lis beaucoup de livres et je vois beaucoup de films pour m’inspirer » , décline-t-il.
Le reste du temps, Christian Maucery marche dans les rues d’Angers, nez au vent et fin sourire aux lèvres, laissant germer dans son imaginaire ses prochaines compositions. En rêvant d’intégrer un groupe, quitte à mettre de côté sa nature sauvage et sa vie solitaire de cow-boy angevin.
Christian Maucery a enregistré « April-May Lockdown » durant le confinement. Un disque qui sonne comme un vieux vinyle de blues.
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Maucery Christian
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2020 |
Blues |
06-07-2022 |
84 |
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1
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Arthur 'Big Boy' Crudup
The Very Best Songs of the Father of the Rock and Roll
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Crudup Arthur 'Big Boy'
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2011 |
Blues |
19-03-2013 |
30 |
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Autour du Blues
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Collectif
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2001 |
Blues |
06-08-2015 |
70 |
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Blind Snake
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Rush Bobby
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2009 |
Blues |
19-03-2013 |
86 |
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1
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Blues summit
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King B. B.
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1993 |
Blues |
19-03-2013 |
119 |
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Booker's guitar
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Bibb Eric
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2010 |
Blues |
05-08-2010 |
102 |
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Bror Gunnar Jansson
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Jansson Bror Gunnar
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2015 |
Blues |
26-01-2016 |
25 |
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Confessin' the Blues
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Collectif
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0 |
Blues |
12-01-2022 |
137 |
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Audio
2
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Conspiracy Blues
Avec ses longs cheveux gris et son chapeau, sa veste en jean’s et son petit foulard noué autour du cou, Christian Maucery ne passe pas inaperçu dans les rues d’Angers. Son allure amérindienne est trompeuse. Christian Maucery est né en Tunisie, deux fois. D’abord en 1959, avant que sa famille ne gagne les Charentes. Puis en 1978, à l’occasion d’un festival, après avoir remporté le premier prix d’un concours de chant à Angoulême, un billet pour son pays d’enfance. « J’ai eu un double déclic : j’ai su que ma vie serait rythmée par les voyages et la musique » , dit-il de sa voix douce.
Une vision prémonitoire : après avoir été postier à Paris, il prend le large vers l’Australie, 11 ans, le Canada et les USA, 5 ans. « Je vivais de petits boulots et j’apprenais la musique. En Australie, j’ai découvert la guitare Dobro et la pedal steel guitare (qui se joue à plat). J’ai sorti mes trois premiers albums que je vendais dans la rue et les halls de gare, où je jouais. Aux États-Unis, je suis parti aux racines du blues » .
De retour en France voici dix ans, il s’installe à Angers, où il lui arrive de se produire. Et où il propose, avec la constance d’un métronome, des CD autoédités. « J’économise pendant plus de deux ans. Je dépense peu, à part pour acheter des cordes de guitares ou de nouveaux instruments. Et dès que j’ai un répertoire suffisant, je passe à l’enregistrement » .
Cela a été le cas de son dernier opus, Happy ending , enregistré cet été à son domicile par l’ingénieur du son angevin Olivier Fournier. Une petite merveille, qui regorge de pépites blues. Ses dix titres traitent de la solitude, de la trahison d’amis, des Bulldog people qui émettent des ondes négatives, de rêves d’ados qui connaissent une fin tragiqueà
Avec toujours ce jeu de guitare d’une grande sensibilité et cette voix soyeuse qui semble planer comme un nuage au-dessus des compositions. « Je lis beaucoup de livres et je vois beaucoup de films pour m’inspirer » , décline-t-il.
Le reste du temps, Christian Maucery marche dans les rues d’Angers, nez au vent et fin sourire aux lèvres, laissant germer dans son imaginaire ses prochaines compositions. En rêvant d’intégrer un groupe, quitte à mettre de côté sa nature sauvage et sa vie solitaire de cow-boy angevin.
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Maucery Christian
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2016 |
Blues |
27-10-2021 |
40 |
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Audio
2
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Correspondance
Avec ses longs cheveux gris et son chapeau, sa veste en jean’s et son petit foulard noué autour du cou, Christian Maucery ne passe pas inaperçu dans les rues d’Angers. Son allure amérindienne est trompeuse. Christian Maucery est né en Tunisie, deux fois. D’abord en 1959, avant que sa famille ne gagne les Charentes. Puis en 1978, à l’occasion d’un festival, après avoir remporté le premier prix d’un concours de chant à Angoulême, un billet pour son pays d’enfance. « J’ai eu un double déclic : j’ai su que ma vie serait rythmée par les voyages et la musique » , dit-il de sa voix douce.
Une vision prémonitoire : après avoir été postier à Paris, il prend le large vers l’Australie, 11 ans, le Canada et les USA, 5 ans. « Je vivais de petits boulots et j’apprenais la musique. En Australie, j’ai découvert la guitare Dobro et la pedal steel guitare (qui se joue à plat). J’ai sorti mes trois premiers albums que je vendais dans la rue et les halls de gare, où je jouais. Aux États-Unis, je suis parti aux racines du blues » .
De retour en France voici dix ans, il s’installe à Angers, où il lui arrive de se produire. Et où il propose, avec la constance d’un métronome, des CD autoédités. « J’économise pendant plus de deux ans. Je dépense peu, à part pour acheter des cordes de guitares ou de nouveaux instruments. Et dès que j’ai un répertoire suffisant, je passe à l’enregistrement » .
Cela a été le cas de son dernier opus, Happy ending , enregistré cet été à son domicile par l’ingénieur du son angevin Olivier Fournier. Une petite merveille, qui regorge de pépites blues. Ses dix titres traitent de la solitude, de la trahison d’amis, des Bulldog people qui émettent des ondes négatives, de rêves d’ados qui connaissent une fin tragiqueà
Avec toujours ce jeu de guitare d’une grande sensibilité et cette voix soyeuse qui semble planer comme un nuage au-dessus des compositions. « Je lis beaucoup de livres et je vois beaucoup de films pour m’inspirer » , décline-t-il.
Le reste du temps, Christian Maucery marche dans les rues d’Angers, nez au vent et fin sourire aux lèvres, laissant germer dans son imaginaire ses prochaines compositions. En rêvant d’intégrer un groupe, quitte à mettre de côté sa nature sauvage et sa vie solitaire de cow-boy angevin.
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Maucery Christian
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2006 |
Blues |
27-10-2021 |
38 |
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Audio
2
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Curtainless Window
Avec ses longs cheveux gris et son chapeau, sa veste en jean’s et son petit foulard noué autour du cou, Christian Maucery ne passe pas inaperçu dans les rues d’Angers. Son allure amérindienne est trompeuse. Christian Maucery est né en Tunisie, deux fois. D’abord en 1959, avant que sa famille ne gagne les Charentes. Puis en 1978, à l’occasion d’un festival, après avoir remporté le premier prix d’un concours de chant à Angoulême, un billet pour son pays d’enfance. « J’ai eu un double déclic : j’ai su que ma vie serait rythmée par les voyages et la musique » , dit-il de sa voix douce.
Une vision prémonitoire : après avoir été postier à Paris, il prend le large vers l’Australie, 11 ans, le Canada et les USA, 5 ans. « Je vivais de petits boulots et j’apprenais la musique. En Australie, j’ai découvert la guitare Dobro et la pedal steel guitare (qui se joue à plat). J’ai sorti mes trois premiers albums que je vendais dans la rue et les halls de gare, où je jouais. Aux États-Unis, je suis parti aux racines du blues » .
De retour en France voici dix ans, il s’installe à Angers, où il lui arrive de se produire. Et où il propose, avec la constance d’un métronome, des CD autoédités. « J’économise pendant plus de deux ans. Je dépense peu, à part pour acheter des cordes de guitares ou de nouveaux instruments. Et dès que j’ai un répertoire suffisant, je passe à l’enregistrement » .
Cela a été le cas de son dernier opus, Happy ending , enregistré cet été à son domicile par l’ingénieur du son angevin Olivier Fournier. Une petite merveille, qui regorge de pépites blues. Ses dix titres traitent de la solitude, de la trahison d’amis, des Bulldog people qui émettent des ondes négatives, de rêves d’ados qui connaissent une fin tragiqueà
Avec toujours ce jeu de guitare d’une grande sensibilité et cette voix soyeuse qui semble planer comme un nuage au-dessus des compositions. « Je lis beaucoup de livres et je vois beaucoup de films pour m’inspirer » , décline-t-il.
Le reste du temps, Christian Maucery marche dans les rues d’Angers, nez au vent et fin sourire aux lèvres, laissant germer dans son imaginaire ses prochaines compositions. En rêvant d’intégrer un groupe, quitte à mettre de côté sa nature sauvage et sa vie solitaire de cow-boy angevin.
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Maucery Christian
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2019 |
Blues |
27-10-2021 |
37 |
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Audio
2
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Cutis anserina
Avec ses longs cheveux gris et son chapeau, sa veste en jean’s et son petit foulard noué autour du cou, Christian Maucery ne passe pas inaperçu dans les rues d’Angers. Son allure amérindienne est trompeuse. Christian Maucery est né en Tunisie, deux fois. D’abord en 1959, avant que sa famille ne gagne les Charentes. Puis en 1978, à l’occasion d’un festival, après avoir remporté le premier prix d’un concours de chant à Angoulême, un billet pour son pays d’enfance. « J’ai eu un double déclic : j’ai su que ma vie serait rythmée par les voyages et la musique » , dit-il de sa voix douce.
Une vision prémonitoire : après avoir été postier à Paris, il prend le large vers l’Australie, 11 ans, le Canada et les USA, 5 ans. « Je vivais de petits boulots et j’apprenais la musique. En Australie, j’ai découvert la guitare Dobro et la pedal steel guitare (qui se joue à plat). J’ai sorti mes trois premiers albums que je vendais dans la rue et les halls de gare, où je jouais. Aux États-Unis, je suis parti aux racines du blues » .
De retour en France voici dix ans, il s’installe à Angers, où il lui arrive de se produire. Et où il propose, avec la constance d’un métronome, des CD autoédités. « J’économise pendant plus de deux ans. Je dépense peu, à part pour acheter des cordes de guitares ou de nouveaux instruments. Et dès que j’ai un répertoire suffisant, je passe à l’enregistrement » .
Cela a été le cas de son dernier opus, Happy ending , enregistré cet été à son domicile par l’ingénieur du son angevin Olivier Fournier. Une petite merveille, qui regorge de pépites blues. Ses dix titres traitent de la solitude, de la trahison d’amis, des Bulldog people qui émettent des ondes négatives, de rêves d’ados qui connaissent une fin tragiqueà
Avec toujours ce jeu de guitare d’une grande sensibilité et cette voix soyeuse qui semble planer comme un nuage au-dessus des compositions. « Je lis beaucoup de livres et je vois beaucoup de films pour m’inspirer » , décline-t-il.
Le reste du temps, Christian Maucery marche dans les rues d’Angers, nez au vent et fin sourire aux lèvres, laissant germer dans son imaginaire ses prochaines compositions. En rêvant d’intégrer un groupe, quitte à mettre de côté sa nature sauvage et sa vie solitaire de cow-boy angevin.
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Maucery Christian
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2013 |
Blues |
06-07-2022 |
86 |
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1
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D'est en ouest
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Slawek
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1998 |
Blues |
26-12-2000 |
28 |
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1
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Dear America
Si vous pouviez lancer un appel à votre pays, que diriez-vous ? Avec la chanson phare de son dernier album, Dear America, l'auteur-compositeur s'est retrouvé à déballer une relation de sept décennies avec un partenaire aux comportements extrêmes. Eric Bibb a connu de nombreuses Amériques différentes : la bonne, la brutale et la truande. Né à New York le 16 août 1951, le coup de foudre du revival folk des années 60 reste une époque très vivante dans sa mémoire. Pourtant, tout aussi tenaces sont les périodes sombres de cette société comme l'année dernière, lorsque les manifestants ont mis en évidence la blessure ouverte des relations raciales aux États-Unis tandis qu'une amère élection présidentielle a exacerbé des lignes de bataille déchiquetées. Cet album est une lettre d'amour parce que l'Amérique, pour toutes ses associations avec la douleur et son histoire sanglante, a pourtant toujours été, malgré tout, un lieu d'espoir et d'optimisme incroyable.
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Bibb Eric
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2021 |
Blues |
09-03-2022 |
153 |
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1
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Didn't it rain
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Laurie Hugh
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2013 |
Blues |
02-09-2014 |
96 |
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1
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Fire in the mind
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Brozman Bob
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2012 |
Blues |
01-12-2023 |
183 |
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1
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Get on board
Près de 60 ans après avoir joué pour la première fois ensemble dans le groupe californien Rising Sons, les légendaires musiciens folks Ry Cooder et Taj Mahal, amis et collaborateurs de longue date et tous deux lauréats de plusieurs Grammy Awards, se réunissent pour enregistrer la musique qu'ils aiment depuis longtemps des regrettés maîtres du blues du Piedmont, Sonny Terry et Brownie McGhee.
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Mahal Taj
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2022 |
Blues |
01-12-2023 |
35 |
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2
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Goût de l'effort (le)
Se définissant lui-même comme un artisan de la musique, Fabrice Falandry est également professeur de guitare. Expert des registres delta-blues (slide, Weissenborn et lap-steel), il a déjà publié deux E.P.s (“Au Zénith” en 2017, et “Le Goût De L’Effort” en 2019), et ouvert en concert pour Otis Taylor, Nick Moss, Paul Personne, Sanseverino, Tété et Michel Jonasz. Enregistrées en trois jours seulement à Saint-Brieuc, ses parties guitares et voix furent ensuite enrichies des apports respectifs de l’harmonica de Bruno Tredjeu, de la slide de Mathieu Pesqué (qui produit le tout), ainsi que de ceux, tout aussi ponctuels, de la batterie de François Pancher, de la basse de Fred Féraud et du violon de Marie Lesnik. Par delà sa magistrale maîtrise instrumentale, ce qui distingue Fabrice Falandry du peloton des bluesmen acoustiques de l’Hexagone, c’est avant tout son parti-pris de la francophonie. Autant ciselés que d’une rigueur consommée, ses textes distillent une poésie de l’errance et de la dissidence fidèle aux thêmes récurrents du blues (“Je Ne Suis Pas Un Toit”, “Ce Que Nous Sommes”), tout en véhiculant des préoccupations aussi actuelles qu’intemporelles (justice sociale, écologie, ancrage territorial…). D’une diction impeccable, son chant égrène des lyrics perpétuant les traditions d’un Bill Deraime ou d’un Francis Cabrel (dont il reprend ici le “Samedi Soir Sur La Terre”), tandis que son picking (souvent marié à la slide) renvoie à la veine agreste d’un Cadijo (“La Folie Des Gens Ordinaires”, “Le Goût De L’Effort”). Dans l’esprit alerte et sophistiqué du grand Mississippi John Hurt, la plage titulaire emporte ainsi l’adhésion, de même en ce registre que “Chez Moi” et “La Crue. Un peu comme si les premiers Hot Tuna avaient marié Gary Davis à Gérard Manset, voici un album qui ravira autant les amateurs exigeants de blues acoustique que ceux des belles lettres. Faîtes donc comme lui, tentez l’expérience!
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Fabrice Falandry
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2019 |
Blues |
02-02-2024 |
136 |