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DARIA est un groupe de rock underground originaire d'Angers-France. Underground. Qu’est-ce que ça veut dire, nous demanderez-vous ? Cela signifie qu'au cours des 20 dernières années, Daria a été un de ces groupes qui travaillent dur, tournent encore et encore, se soucient de la musique, ont besoin de l'exprimer à d'autres personnes partageant les mêmes idées et continuent toujours. Possédée par un esprit punk rock DIY-or-die, Daria émet un battement de cœur collectif qui suit le chemin forgé par la scène indie rock américaine qui nous a donné des groupes tels que The Jesus Lizard, Jawbox et Hot Water Music. Après leur quatrième album « Impossible Colours » produit et enregistré avec J. Robbins à Baltimore, MD, USA et sorti en janvier 2016 sur le label allemand Arctic Rodeo Recordings, le groupe s'est lancé dans une tournée de plus de 80 concerts à travers l'Europe, le Royaume-Uni et aux États-Unis avant de faire une pause à partir de fin 2017. 2022 marque le retour officiel de Daria qui se produira à nouveau en live et sortira bientôt de nouvelles musiques. Pour en revenir à ce qu'on entends par « underground », on pense que Daria pourrait être la réponse de la France à vos héros cachés qui partagent les mêmes valeurs, le même esprit et la même intensité. Pour les disciples de l’Église du Bruit, il est temps d’embarquer pour un pèlerinage français.

De la performance glorieuse et émotionnelle de Nina en 1968 à son concert fougueux et imprévisible de 1976, l'une des performances les plus remarquables jamais vues au festival, la collection comprend des enregistrements de ses cinq concerts légendaires à Montreux en 1968, 1976, 1981, 1987 et 1990. Avec des documents rares et inédits issus de la vaste collection d'enregistrements de Claude Nobs, les auditeurs seront ravis d'entendre la puissante chanson I Wish I Knew How It Would Feel To Be Free, la poignante et intrépide Four Women et la magnifique interprétation de Ne Me Quitte Pas. Une version frissonnante de Stars de Janis Ian côtoie sa réinterprétation audacieuse et électrisante de la ballade No Women No Cry de Bob Marley en 1990. La collection se termine par le rappel du dernier concert de Nina Simone au Festival de Jazz de Montreux et l'un des enregistrements les plus appréciés et les plus connus de Simone, l'exubérant My Baby Just Cares For Me, qui met en évidence les facettes profondes et multidimensionnelles de sa vie et de sa musique. L'édition double CD comprend également l'intégralité du concert historique de Nina Simone en 1968, une tuerie de la première à la dernière note. C'est la première fois que l'intégralité du concert sera disponible sur CD.